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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 19:40

Début 2014, I-milo entre en scène dans les Missions Locales.

La première phase de conception en concertation avec les acteurs de Missions Locales doit s’achever à la fin de l’été. i-milo se déploiera progressivement par région et bénéficiera des enseignements et des apports de la phase de consolidation au sein d’une région pilote.

Fin 2012 : Lancement de la phase de conception
Jusqu'à l’été 2013 : Co-conception d'i-milo en concertation avec tous les acteurs
Automne 2013 : Phase de test en situation réelle au sein d’une région pilote. Améliorations et consolidation
Fin 2013 :Premières formations des usagers. Contractualisation avec les missions locales
Début 2014 : Premier déploiement au sein d’une région pilote. Déploiement progressif d'i-milo dans les missions locales
Automne 2014 : Lancement du plan de développement de nouveaux services.
Campagne d'évaluation et mesure de la satisfaction des usagers

https://www.i-milo.fr/index.php?page=accueil

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 12:14

Le projet de loi d'orientation et de programmation pour la refondation de l'école supprime le dispositif d'initiation aux métiers en alternance (Dima). Ce dispositif avait été mis en place dans le cadre de la loi du 28 juillet 2011 pour le développement de l'alternance et la sécurisation des parcours professionnels, dite loi Cherpion. Il était destiné à des jeunes âgés de moins de quinze ans. "Il convient de remettre en cause tout dispositif ou classe d'éviction précoce qui détournerait les élèves de l'objectif de maîtrise du socle et les enfermerait trop tôt dans une filière", explique le texte, qui propose à la place des modules d'enseignements complémentaires au tronc commun, après la classe de troisième. Ils pourraient comporter des stages, contrôlés par l'Etat et accomplis auprès de professionnels agréés.

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 12:11

Emplois d'avenir : "Les communes ne jouent pas le jeu", alerte un préfet

Emploi des jeunesPublié le lundi 27 mai 2013

Dans un entretien à AEF, le préfet des Bouches-du-Rhône s'inquiète du retard pris par les emplois d'avenir dans son département et interpelle les communes.

Dans les Bouches-du-Rhône, 27.000 jeunes sans qualification ont été identifiés par les missions locales. "Une bombe à retardement", alerte Hugues Parant, le préfet du département, interrogé par l'agence AEF. "Les communes ne jouent pas le jeu", s'insurge le préfet : "4.113 contrats doivent être signés en 2013, or seuls 567 jeunes ont été engagés pour le moment, soit 13,8% de l'objectif", précise-t-il, visant la communauté urbaine de Marseille qui "totalise la moitié des jeunes du département potentiellement concernés par le dispositif et qui s'engage sur cinquante embauches".
Alors que les jeunes des zones urbaines sensibles ont été identifiés comme prioritaires (une convention d'objectifs signée le 25 avril fixe une proportion de 20% des emplois d'avenir dans les quartiers prioritaires, et 30% en 2015), le préfet décrit "des conditions d'enfermement dans les quartiers où le nombre de jeunes sans qualification risque de conduire à une situation désastreuse". Dans son département, beaucoup d'engagements ont été pris (conseil général, secteurs de l'ESS, du sport, du logement social...), mais ils tardent à se concrétiser.
La région Paca n'est pourtant pas à la traîne, elle fait même un tout petit peu mieux que la moyenne nationale, avec 20,6% d'embauches sur l'objectif de 2013, avec des départements exemplaires comme le Var qui a déjà rempli 38% de son objectif. Hugues Parant met en avant deux freins à l'embauche : "La volonté de ne pas perturber l'équilibre social de ces établissements, puis la crainte de devoir embaucher ces jeunes à l'issue de leur emploi d'avenir, comme ils avaient dû le faire avec les emplois jeunes."

"Beaucoup n'en ont pas les moyens"

De leur côté, les communes insistent sur le coût d'un tel dispositif. "Cela monte lentement. Beaucoup de communes souhaiteraient avoir recours à des d'emplois d'avenir mais beaucoup n'en ont pas les moyens, même si seulement 25% du coût est à la charge des communes", a ainsi expliqué le premier vice-président délégué de l'Association des maires de France (AMF), André Laignel, le 22 mai, à l'occasion d'une conférence de presse.
Avec 20.000 contrats signés depuis leur lancement en novembre sur les 100.000 emplois d'avenir prévus d'ici fin 2013, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault reste optimiste. "Je crois que nous sommes maintenant dans la période de montée en puissance, a-t-il déclaré mercredi 22 mai, à l'issue d'une réunion des ministres sur l'emploi. Nous avons levé d'ailleurs tous les obstacles, toutes les incompréhensions qui pouvaient exister, pour montrer que si on veut on peut arriver à ce résultat."
Exemple de ces aménagements : le préfet des Bouches-du-Rhône se félicite du travail fait avec la région Paca sur "les formules possibles pour financer la formation des jeunes à des métiers différents de ceux qu'ils exercent au sein de la collectivité qui les embauche". "Mais ces solutions ne sont pas encore opérationnelles", a-t-il ajouté à AEF. Selon lui, la formation qualifiante consitue une grande différence avec les emplois aidés classiques.

M.T. avec AEF

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 11:52

Le taux de chômage des jeunes a augmenté significativement en 2012, en Europe comme en France, comme le montrent les derniers chiffres concernnat les régions publiés par Eurostat

Si pour les chiffres 2010, nous mettions l’accent sur L’outre mer français, champion d’Europe du chômage des jeunes, si pour les chiffres 2011, nous mettions l’accent sur la situation espagnole Chômage dans les régions de l’Union Européenne : l’Andalousie et les Canaries dépassent l’outre-mer français, nous allons, à propos des chiffres 2012, mettre l’accent sur la dégradation de la situation de l’emploi des jeunes en France métropolitaine

Il ne s’agit à travers cet éclairage de nier que la situation de l’emploi des jeunes outre-mer reste catastrophique : 53 % en Guadeloupe, 54.2 % à la Réunion et même 56.7 % en Martinique. Mais la situation s’est encore détériorée en Espagne et en Grèce, où le taux de chômage des jeunes atteint 72.5 % dans la province de Macédoine, record européen.

Mais la situation en France métropolitaine mérite attention car, alors que seulement quatre régions étaient concernées l’an dernier, ce sont huit régions qui fin 2912 dépassaient les 25 % de chômage des jeunes. Le Nord Pas de Calais, Languedoc-Roussillon, Champagne Ardenne et l’Aquitaine sont rejoints par le Centre, la Picardie, la Haute Normandie et l’Auvergne, ce qui est loin d’être neutre, le seuil des 25 % étant celui qui a été retenu pour la territorialisation prioritaire du programme européen de soutien à l’emploi des jeunes, sujet que nous avions pressenti (voir Thierry Repentin en transition entre deux fonctions)

Notons que le taux en Languedoc Roussillon atteint 38.3 % et se rapproche sensiblement de celui de leurs voisins espagnols, avec une inquiétante hausse de 8,1 % en un an, ce qui suppose probablement une réflexion particulière concernant cette région.

http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/2013/05/28/dans-huit-regions-metropolitaines-le-chomage-des-jeunes-depasse-25/

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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 01:18
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28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 01:15
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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 20:01
 MOBILISATION DES SALARIES DE LA ML DE BEAUNE
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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 19:52

Nous apportons tout notre soutien aux salariées de la Mission Locale de Beaune, pour éviter une deuxième catastrophe sociale; le dépôt de bilan de l'association. Il ne faut pas que l'expérience malheureuse de Woippy se reproduise et génère l'abandon de toute une jeunesse, et des licenciements économiques. Le service public de l'emploi des jeunes doit être maintenu et aucun jeune de France ne doit se voir priver de l'offre de service d'une Mission Locale. Courage à nos camarades de Beaune, nous pensons à vous et à votre juste combat pour l'accompagnement des jeunes.

Côte-d'Or - Social La mission locale de Beaune : les conseillères se mobilisent

Les conseillères de la mission locale de Beaune étaient ce matin devant la Dirrecte à Dijon. Photo LBP

Ce lundi, en fin de matinée, les conseillères de la mission locale de Beaune sont venues apporter 2 000 CV de jeunes à la directrice de la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi), boulevard Voltaire à Dijon. Cette action intervient alors même qu'à la suite de la baisse des subventions de l'Etat, la mission locale rurale de l'arrondissement de Beaune risque le dépôt de bilan, la fragilisation de ses antennes et des licenciements. Les conseillères ont voulu adresser "une alerte rouge aux autorités suite à une baisse de 30 % de la subvention de l'Etat versée par la Direccte". Cette baisse met notamment en péril l'accompagnement des jeunes, âgés de 16 à 26 ans, dans leur démarche d'insertion porfessionnelle.

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 08:26

Autonomie des jeunes : dissoudre une commission ne peut constituer un projet

En fin de législature, le gouvernement de Lionel Jospin préparait, pour le quiquennat suivant, un dispositif permettant l’autonomie des jeunes, avec une expérimentation conduite par la Délégation à l’Insertion des Jeunes dans le cadre de la Bourse d’Accès à l’Emploi


La loi n° 2001-582 du 4 juillet 2001 relative à la mise en place d’une allocation d’autonomie pour les jeunes de seize à vingt-cinq ans qui créait une Commission nationale pour l’autonomie des jeunes, placée auprès du Premier ministre et présidée par Jean-Baptiste de Foucauld

Cette commission comprenait des parlementaires, des élus locaux, des représentants de l’Etat, des organisations représentatives des employeurs et des salariés, d’associations de chômeurs, des mutuelles, de la Caisse nationale des allocations familiales, du Conseil national de la jeunesse, des organisations représentatives des étudiants et des lycéens, des fédérations de parents d’élèves, et des personnalités qualifiées. Elle a travaillé, auditionné, proposé , confronté les idées… en fin 2001 début 2002.

Elle a remis son rapport, rédigé par un rapporteur général, Nicole Roth et des rapporteurs, Pierre-Jean Andrieu, Jérôme Guedj (devenu depuis président du conseil général de l’Essonne et député) et Francine Labadie. Ce rapport, de qualité, a été soigneusement enterré après les élections présidentielles de 2002, dont chacun se rappelle du résultat. Et, pour faire bonne mesure, la Délégation à l’Insertion des Jeunes a été dissoute sous l’impulsion du ministre du travail, François Fillon.

Le tout récent décret n° 2013-420 du 23 mai 2013, pris dans une logique de simplification portant suppression de commissions administratives à caractère consultatif et modifiant le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement de commissions administratives à caractère consultatif prévoit la suppression de 64 comités

Son article 59 porte sur la Commission nationale pour l’autonomie des jeunes et stipule “La loi n° 2001-582 du 4 juillet 2001 relative à la mise en place d’une allocation d’autonomie pour les jeunes de seize à vingt-cinq ans est abrogée“.

Si la disparition d’une commssion qui ne s’est plus réunie depuis plus de 10 ans est une évidence (même si on peut s’interroger, sur le plan formel, de voir un décret abroger une loi !), il faut toutefois s’interroger sur les intentions du gouverneent quant à cete question de l’autonomie des jeunes : on aurait aimé, en même temps que la suppression de cette commission un message sur les perspectives d’avenir.

En attendant, les derniers chiffres publiés montrent que le nombre de bénéficiaires du RSA jeunes baisse depuis six semestres consécutifs (voir RSA Jeunes : nouvelle baisse du nombre de bénéficiaires fin décembre) pendant que le chômage des jeunes progresse significativement. Cherchez l’erreur !

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 08:20

En 2011, les missions locales ont été chargées de suivre 20.000 décrocheurs scolaires. Au total, 58% des jeunes sortis du dispositif sont en emploi ou en formation. En 2013, l'accord a été prolongé et les missions locales doivent suivre 10.000 décrocheurs supplémentaires auxquels elles peuvent désormais proposer des emplois d'avenir.

Dans le cadre de l'Accord national interprofessionnel (ANI) du 7 avril 2011*, les missions locales ont été chargées de suivre 20.000 décrocheurs scolaires. Ce travail, qui se déroule en trois phases (diagnostic, accompagnement vers l'emploi et accompagnement en situation professionnelle), donne de bons résultats. L'objectif de ce programme est d'accompagner les jeunes sortis du système éducatif sans qualification ou sans diplôme (y compris ceux dont le contrat en alternance a été rompu) dans le but de leur faire acquérir les savoirs nécessaires à l'accès à l'emploi, les pré-requis de base. Il doit ensuite leur permettre d'accéder à une qualification, notamment par les formations en alternance et/ou la préparation opérationnelle à l'emploi.
Pour lancer le dispositif, les missions locales ont d'abord procédé à une première phase de diagnostic des situations auprès de 31.500 jeunes. "Parmi eux, 20.800, soit les deux tiers, sont entrés dans la deuxième phase, qui correspond à l'accompagnement vers l'emploi", explique Serge Kroichvili, délégué général de l'Union nationale des missions locales (UNML). Une partie de ces jeunes (1.650) ont été orientés en Contrat d'insertion dans la vie sociale (Civis) que proposent les missions locales. Cet autre dispositif s'adresse également à des jeunes de 16 à 25 ans qui rencontrent des difficultés particulières d'insertion professionnelle. Les titulaires d'un Civis sont accompagnés par un référent et se voient verser une allocation (maximum 1.800 euros par an). Les jeunes reçus dans le cadre du décrochage scolaire ne reçoivent quant à eux aucune indemnisation. Leur profil est pourtant identique au Civis : pour 98%, ils sont sans diplôme ; ils sont majoritairement mineurs (40% sont âgés de moins de 18 ans) et 62% d'entre eux habitent toujours chez leurs parents.

Deux dispositifs en concurrence

"Aujourd'hui, 11.100 décrocheurs sont toujours en accompagnement, souligne Serge Kroichvili, 9.700 sont sortis de l'accompagnement. Parmi eux, 5.600 sont en emploi ou en formation, soit 58%, c'est énorme !" En comparaison, depuis la création du Civis, dans l'ensemble, 48% des jeunes sont sortis vers un emploi, durable ou non, ou vers une formation. Ce chiffre s'est fortement dégradé en 2009 et 2010, pour atteindre 28% seulement…
Une petite partie des jeunes reçus dans le cadre du décrochage scolaire (1.900) ont en revanche abandonné le programme et seront réorientés vers d'autres dispositifs proposés par les missions locales. Mais "c'est peu, cela correspond seulement à 10% des personnes suivies, explique Serge Kroichvili, globalement c'est un bon travail qui a été réalisé par les missions locales".
Les missions locales, si elles considèrent le programme intéressant sur le fond, sont cependant plus sceptiques sur le fait de rajouter un dispositif, qui entre en concurrence avec un autre, en l'occurrence le Civis. "La difficulté avec ce programme, c'est qu'il est en concurrence avec le Civis qui, lui, est rémunéré, souligne Corinne Farenc, de la mission locale de Toulouse, on se demande à un moment donné à quoi ça sert !" Même écho à la mission locale d'Angoulême. "Cela crée une distorsion, explique Bernard Leroy, conseiller, il aurait mieux valu proposer un tel dispositif dans le cadre du Civis avec les mêmes droits pour tous et harmoniser le tout." La durée du programme relatif au décrochage scolaire est aussi plus courte que le Civis : un accompagnement de douze mois, plus six mois quand le jeune est en emploi, contre un accompagnement qui peut durer jusqu'au 26e anniversaire du jeune pour le Civis. "Pour ce type de jeunes, c'est un peu mission impossible !", souligne Bernard Leroy. Par ailleurs, le programme de l'ANI prévoit un financement au résultat, du coup "on est amené à proposer le programme à des jeunes dont on pense qu'ils pourront rapidement obtenir un emploi, cela réduit encore l'entonnoir", précise le conseiller de la mission locale d'Angoulême, qui s'est chargée de 89 jeunes dans ce cadre, dont 15 ont trouvé un emploi ou une formation.

10.000 jeunes supplémentaires

Autre difficulté pour les missions locales : l'accompagnement très lourd qui est imposé dans le cadre du décrochage scolaire. "C'est un suivi très rapproché, on voit les jeunes toutes les semaines au cours des trois premiers mois, ensuite tous les mois pendant douze mois maximum. Par la suite, on doit suivre le jeune en emploi pendant six mois", détaille Corinne Farenc.
Pour 2013, les missions locales vont devoir suivre 10.000 jeunes supplémentaires, avec un budget de 15 millions d'euros, qui s'ajouteront aux 30 millions d'euros qu'elles ont reçus pour les 20.000 premiers, issus du Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FPSPP). Un avenant à l'ANI du 7 avril 2011 a en effet été signé le 20 décembre 2012 entre les partenaires sociaux, l'Etat, et les missions locales, prolongeant jusqu'au 30 juin 2013 l'accord. "On a terminé les effectifs prévus pour 2012, maintenant on va faire entrer les 10.000 jeunes supplémentaires", signale Serge Kroichvili.
Au total, le gouvernement espère réduire de moitié le nombre (140.000) de jeunes qui quittent chaque année le système scolaire sans qualification. Les missions locales participent aussi aux plateformes de coordination pour la prévention du décrochage scolaire mises en place pour identifier les élèves de plus de 16 ans qui ont quitté l'école sans diplôme. Ces plateformes mobilisent sur un territoire donné les responsables de l'Education nationale, de l'enseignement agricole, des centres de formation d'apprentis (CFA), du service public de l'emploi, du réseau d'information jeunesse, des collectivités et des missions locales. Et la réorganisation actuelle du réseau des missions locales, lancée par le gouvernement, ne risque pas de freiner l'élan, mais plutôt de l'encourager. "Il n'y a pas de difficulté avec cette réorganisation ; au contraire, il y a là la reconnaissance de l'Etat qu'il faut clarifier les responsabilités des différents acteurs présents au sein du réseau", assure Serge Kroichvili. Les emplois d'avenir, pour lesquels les missions locales jouent un rôle de premier plan, pourront offrir à ces jeunes décrocheurs une nouvelle planche de salut. C'est ce que prévoit le "guide de l'opérateur" des emplois d'avenir.

* Accord national interprofessionnel du 7 avril 2011 sur l'accompagnement des jeunes demandeurs d'emploi dans leur accès à l'emploi.

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